Se retrouver
Moi j’y crois. Au nouveau départ.
Vierge de son passé.
Je suis un être humain et ai donc des droits.
Fallait-il encore l’admettre.
Pas parce que sa pensée est supérieure, plus pure ou plus réfléchie.
Pas parce
qu’il est savant ou omniscient.
Pas parce qu’il a vagabondé, expérimenté la vie. Mais parce qu’il est humain.
Elle est là la liberté, universelle.
Pas parce qu’il a vagabondé, expérimenté la vie. Mais parce qu’il est humain.
Elle est là la liberté, universelle.
Epuisante, déroutante. Jusqu’à l’obtention d’indices, de morceaux de puzzles.
Reconstituer le tout, pour obtenir le trésor, graal sacré de notre vie.
D’autres perte de temps, temps qui s’écoule, mais ouvrant le miroir de l’âme.
Ne prend aucun raccourci, arpente chaque recoin, chaque espace.
Trouve tous les présents enfouis.
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Tu sais quel sera le lieu de notre prochain
rendez-vous ?
Attends que tombe la nuit, que la lune t’éclaire et que les étoiles veillent sur notre amour.
L’infini s’ouvrira alors à nous. Juste toi et moi et l’univers à nos pieds.
Attends que tombe la nuit, que la lune t’éclaire et que les étoiles veillent sur notre amour.
L’infini s’ouvrira alors à nous. Juste toi et moi et l’univers à nos pieds.
L’immensité de l’espace, réservé à nous deux.
On pourrait commencer par chevaucher la campagne à cheval. Tu l’aimerais comment le tien ? Moi j’imagine un cheval noir, fier, tu vois.
Tu sens le vent dans tes cheveux ? Tu serais divine, d’une beauté étincelante.
Après nous irions manger des biscuits et boire du thé parfumé dans des fauteuils hors de prix.
On s’abandonnerait à nos caresses respectives. T’en dis quoi ?
Te regarder évoluer, au milieu des rochers et arbustes solitaires.
Spectacle féérique.
Ton rire qui fait résonner mon cœur, tes yeux plissés. Ta course folle arrêtée nette dans mes bras.
Epuisés, affamés, on marcherait jusqu’à trouver un restaurant, calme. Toi et moi à une terrasse, personne autour.
Je ne me souviens plus des mets, mais de ton visage, rieur, heureux, tes lèvres au goût de miel.
Enfin, abreuvés d’amour, on plongerait, collés, dans un sommeil apaisant.
Demain, un autre scénario sensationnel.
Dis, tu en aurais envie aussi ?
Rejoins-moi alors, chaque nuit, à l’aurore des rêves.
Princesse de mes songes, fais ce voyage dans l’au-delà à mes côtés.
Chaque soir, un nouveau départ.
S’inventer mille histoires.
Tu serais sereine, à chaque instant.
Ne plus se contenter du médiocre. Le parfait, inexorablement.
Qui pour mettre un terme à nos rêves ?
Nous n’aurions plus besoin de s’enfuir.
Evadons-nous dans nos nuits infinies.
Plus de faux pas, plus de ratures, plus d’erreurs.
Le génie dans sa lampe aurait une offre de souhaits à volonté.
Tu veux quoi, reine de lumière ? Tu me veux moi ?
C’est tout ce que je peux t’offrir.
Le plus grand des présents. On pourra préserver nos cœurs.
Notre âme pourra s’envoler.
Cogito ergo sum
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